fellation


Il commence bien ce porno 6

Elle aurait le statut de voyeuse. Et rien d’autre ! C’est une grande première pour elle, il faudra y aller en douceur. Rapidement une sorte de connivence s’établit entre nous. Elle est venue se caresser à moi, douce et imposante. Nos corps, l’un contre l’autre, s’apprivoisent. Je la laisse monter l’escalier la première, à quatre pattes et à son rythme.  Je suis confiante : entre elle et moi, tout se passera bien. Cependant, elle ne me parait pas très détendue, la nouveauté sans doute. Ce porno commence bien, n’est-il pas ? Quand nous avons décidé de prendre un bain (dans une baignoire trop petite, les budgets des pornos n’étant plus […]


Douche 4

La pluie aviez-vous dit, sur nos peaux nues, l’eau qui ruisselle, les fantasmes simples et doux, la pluie sans le rhume, nous avions souri. J’aime la pluie sous un velux, au chaud contre un torse. J’aime l’eau qui frappe aux carreaux sans que personne ne lui ouvre. J’aime la persévérance de la pluie qui ne se décourage pas face au dédain qu’elle subit. Mouille le toit. L’eau coule sur nos peaux nues. Derrière la porte de verre, nous avons laisser nos rythmes effrénés, les files de voitures et le travail à même les claviers. Le pommeau de douche distille une chaleur bienveillante. Il n’y pas de savon dans la roulotte. […]


Café du dimanche matin 2

Il déambule dans la cuisine, à moitié réveillé, un mug de café à la main. Il est vêtu d’un pyjama bleu-clair dont le pantalon est à carreaux bleu et blanc. Il aime cette cuisine et côté rustique-pas-fini. Un pilier de bois trace d’une ancienne cloison, sert de délimitation avec la salle à manger. Une table blanche, simple. Un timbre d’évier à l’ancienne. Un tableau très coloré au mur. Quelques photos de paysage accrochées à une cordelette par des pinces à linge en bois. Il se sent bien ici. En passant la porte de la cuisine, elle sourit : cette manie de remettre un pyjama au lever l’a toujours amusé. Quelle pudeur […]


Gorge 1

Comment peut-il y avoir autant de douceur dans ses yeux là ? Comment peut-il y avoir autant de batailles entre deux peaux ? Mes cuisses enserrent son cou, fort aussi fort que la nature me l’accorde, aussi fort que le désir me l’ordonne. Un petit animal me dévore le cou, me mord la plante, je couine petit animal prise au jeu. Dans le métro, sa main contre mon dos  me fait frissonner du souvenir de ses lèvres. Ma gorge se mouille. Les vagues des rails me ramènent à son corps, irrésistibles secousses. La langue sur la pointe, je tourne et aspire. La peau se tend, grandit dans ma gorge. Va, […]